nobody said it was easy.

between two lungs • les volutes de fumée s'évaporent, légère apesanteur entre une musique assourdissante de pop-rock et les effluves d'alcool qui enivre. Une sacré équation à laquelle tu dois faire face, mais surtout à laquelle tu vois déjà la situation toute trouvée. Quitter cette boite de nuit. D'ordinaire, tu étais la première à te réjouir des festivités nocturnes, des sorties entre copines, seulement aujourd'hui n'était le jour. La matinée avait été des plus mouvementées, emplies d'imprévus qui se sont accumulés les unes derrières les autres et puis tu n'étais tout bonnement pas d'humeur. Une humeur un brin ronchonne, un zeste plus susceptible que de coutume. Les maux de tête avaient commencée en plein milieu de l'après midi pour ne pas en finir. Tu devais certainement couver l'un de ses rhumes qui trainent dans la région. Pourtant, le coup de fil de Maggie avait eu le don de te faire dériver de ton programme de la soirée : couette en pilou, récipient de pop-corn and netflix. Ta camarade venait tout juste de sortir d'une histoire on ne peut plus compliquée. Maggie était l'éternelle romancière amoureuse d'un héros littéraire, un peu candide sur les sujets de cœur, aimant des hommes qui ne lui conviennent pas. Alors, tu avais mis tout cela de coté afin d'être le pilier qui la consolerait. Elle avait besoin de toi et tu étais là. A l'autre bout de la pièce, ta comparse des années universitaire semblait avoir recouvrer le sourire au loin des larmes de tout à l'heure. Elle discutait avec deux personnes dont elle avait fait la connaissance au cours d'un stage. Très honnêtement, tu n'avais fait que suivre la conversation de loin avant de te diriger vers le bar pour commander un verre. Assise sur l'un des tabourets du comptoir, le front posé dans main gauche, tu soupires avant de te redresser pour porter ton regard sur la foule humaine qui a pris possession de la piste de danse. La puissance de la musique martèle sourdement tes tympans, tu en grimacerais presque. Il n'y a que toi qui semble peu en phase avec l'atmosphère ambiante des lieux.  Néanmoins, si tu avais su, tu ne serais pas venue. Ton attention s'est figée sur une silhouette, sa silhouette. Asher était là. Il était là, au milieu de la piste où la compagnie charmante d'une blonde aux yeux verdoyantes écoute l'écho de promesses d'un soir susurrée à l'oreille. Un bras autour de son torse, elle s'approche davantage, laissant surgisse la séduction de sourire acquis. Un ressenti de mal être te gagne, la colère s'entrelace comme une entrave intérieurement. Tu ne devrais pas réagir ainsi, tu ne devrais pas. Tu le sais avec pertinence mais c'est plus fort que toi. Tu couves un truc, c'est certainement dû à cela. Tes prunelles sont toujours fixées sur lui et lorsque tu prends la décision de partir, lui aussi t'a repéré. L'élan du déni, de la fuite aussi.  Tu tentes – tant bien que mal – de te frayer un chemin parmi le population déchainée afin de d'expliquer à Maggie que tu préférais rentrer. Elle t'assure que l'un de ses amis pourra la raccompagner et une fois certaine, tu marches en direction de la sortie comme si tu avais le feu aux fesses. Tu ne tiens pas à ce que Asher vienne à ta rencontre pour savoir ce que tu fais ici. Tu lui avais dit que tu passerais une soirée tranquille chez toi et tu étais là. Tss, après tout tu fais ce que tu veux. A peine as-tu le temps de pénétrer dans le hall des locaux que main saisi fermement ton poignet droit, assez pour te faire tourner. – Hé, pourquoi j'ai l'impression que tu me fuis comme la peste ?! Une interrogation à mi chemin entre le questionnement et l'affirmation. Caplan était si douée pour te cerner quelques fois. Tu souris amusée, excellente comédienne que tu es, alors que le mot chamade calcule ton cœur et que le tambour frappe ta tête. – Je crois que tes chevilles sont toujours enflées même à une heure tardive Ash … Il t'observe en silence, ne laissant que le bourdonnement de la salle d'à coté se répercuter contre les murs. Asher lève sa main, la porte à ton front tout en te toisant avec convoitise et bienveillance. – Tu es brulante Pao. Il enlève sa veste en cuir, la mettant ensuite sur tes épaules. Il s'abaisse quelque peu à ta hauteur, de manière à ce que vos regards se croisent, un peu comme le destin. – Crois-moi j'aurais préféré te le dire dans un autre registre, une autre mise en scène aussi. Asher te considère d'un clin d'oeil taquin avant de reprendre. – Mais ce n'est pas mon genre de profiter de toi, du moins de cette façon. Ton expression faciale lance des éclairs, lui en rigole bien évidement.

Quelle est la chose la plus importante pour vous ?
famille ou amitié, la divergence entre ces deux termes est pour elle très maigre. l'existence lui ouvert bien des portes d'une vision sur le monde. il y a la famille que nous impose la vie, joyeux hasard à laquelle elle décline chaque jour des sourires véridiques. et puis il y a ses rencontres provoquer par ce même hasard qui vous permet de grandir, de vous épanouir en laissant la confiance se forger avec certitude et continuité. l'amitié, le deuxième attrait auquel elle apporte énormément de valeur car c'est bien son cercle amical - de l'époque et d'aujourd'hui - qui lui a permis de maintenir le cap à différents instants de la vie. une aventure qu'elle partage avec les personnes qui lui sont chers, auxquelles elle serait prête à tout faire, tout donner. elle sait que rien n'est jamais acquis, elle en a toujours eu bien conscience la belle - mais sa loyauté aussi puissante soit-elle aurait de la peine à subsister si le mot trahison faisait son apparition.

COMME TU SAIS J'AIME TROP. j'ai rien à dire de plus.

Ca y est, tu es validé(e) ! Ca veut dire que t'as terminé ta fiche et que t'as déjà commencé à RP donc déjà, bravo et merci d'exister - maintenant que c'est fait, tu peux aller créer ta fiche de lien, tu peux aussi jeter un oeil au système de points et tirer une carte Destin.
N'hésite pas à faire une proposition de rp ou à checker les propositions, un petit nouveau a peut-être besoin de toi pour entrer dans le jeu !

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